Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël.

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La vérité sur l’attaque du 7 octobre 2023

 

L’attaque du 7 octobre 2023 est attribuée dans toute la presse au Hamas. Il y avait en fait d’autres factions d’attaquants résistants. Nous ne disposons d’aucune enquête sérieuse sur la réalité des faits. Une seule certitude : les autorités israéliennes ont menti. Elles commencent d’ailleurs à rétropédaler bien timidement.

La férocité du combat contre la vérité des sionistes est à la hauteur de leur projet… Ils sont accusés de génocide par la Cour Internationale de Justice. C’est un blocus de l’information qui est organisé à Gaza pour masquer toutes les atrocités auxquelles se livre l’armée des sionistes. Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël. Ne comptez pas sur ces criminels pour raconter ce qui s’est réellement passé le 7 octobre.

Les énormes mensonges à propos de l’attaque du 7 octobre servent à tenter de justifier l’atroce réalité que subit maintenant la population de Gaza et les autres palestiniens d’Israël et de Cisjordanie.

La Cour internationale de Justice (CIJ), a rendu une première décision le vendredi 26 janvier sur des mesures urgentes contre Israël, accusé de « génocide » dans la bande de Gaza. La présidente de la CIJ a estimé qu’« au moins certains actes [à Gaza] semblent susceptibles de tomber sous le coup de la convention sur le génocide » et a ordonné à Israël de « prévenir et punir » l’incitation au « génocide ».

Les énormes mensonges visent à inverser l’accusation.

Depuis le 7 octobre, le détail de l’attaque du Hamas n’a quasiment pas été questionné en langue française, tout comme la distinction de plusieurs factions d’attaquants qui ont participé à l’attaque avec le Hamas.

Des faits invraisemblables ont été rapportés. les prétendus “sanguinaires assaillants du Hamas” ont été accusés de mettre des bébés israéliens dans des fours, d’éventrer des femmes enceintes, de charcuter femmes et enfants.

Quatre mois après, une écrasante majorité de dirigeants, médias et personnalités continue de qualifier l’action du “Hamas” (sans jamais nommé les autres groupes) de massacre de plus de 1000 victimes. Jusque dans les rangs du mouvement ouvrier, il est question d’ “une série de pogrom antisémites”. D’où sortent-ils que “le bilan de ses pogroms est de l’ordre de 1400 morts” ou qu’il s’agissait d’ “une opération militaire préparée sous supervision iranienne pour aller massacrer, démembrer, violer, et se retirer ensuite” ou encore d’ “une série de pogroms affirmant une visée génocidaire” ?

The Grayzone a enquêté sur la fabrique à mensonge en Israël.

The Grayzone a poursuivi son enquête auprès de relais au New York Times et dans d’autres organes de presse du monde “libre”.

Quelques personnalités ont alors commencé à rétropédaler. Le 12 octobre, Biden change de version à propos de soi-disant bébés décapités.

Quelques médias tels The Craddle, Mondoweiss, The Grayzone, Times of Israel, Haaretz, +972 Magazinze, ont fait remonter à la surface des témoignages de survivants et de militaires, des rapports de police attestant d’une autre version sur le rôle de l’armée israélienne que celle de Netanyahou reprise en chœur par médias et gouvernants occidentaux.

Il sera difficile de connaître toute la vérité mais nous avons maintenant quelques certitudes. Le témoignage de Yossi Landau, chef des opérations de ZAKA pour la région sud d’Israël n’est pas crédible. ZAKA est une organisation religieuse “d’identification des victimes de catastrophes”. The Grayzone précise en effet :

“Malgré la présence de plusieurs témoins potentiels à l’intérieur de Beeri avant l’arrivée de ZAKA pour récupérer les cadavres, aucun témoignage indépendant corroborant les affirmations de Landau n’a encore fait surface. De plus, aucun décès de frères et sœurs âgés de 6 à 8 ans n’a été enregistré à Beeri le 7 octobre. Toute trace d’un jeune enfant tué de la manière décrite par Landau est également inexistante, tout comme les photos de la famille assassinée qu’il a décrite. En fait, les seuls frères et sœurs proches de cette tranche d’âge qui sont morts dans la communauté ce jour-là – les jumeaux Liel et Yanai Hetrzroni, 12 ans – ont été tués par les bombardements de chars israéliens.”

Je rappelle de quoi il s’agissait. Le “témoignage” de ce Yossi Landau avait été repris par Blinken lui-même qui a rapporté cette “scène horrible destinée à illustrer la sauvagerie du Hamas”. “Un jeune garçon et une jeune fille, âgés de 6 et 8 ans et leurs parents autour de la table du petit-déjeuner”. “l’œil du père a été arraché devant ses enfants. Le sein de la mère a été coupé. Le pied de la fille a été amputé, les doigts du garçon ont été coupés avant leur exécution”. Cet abominable racontar, mille fois répété, est évidemment entièrement faux.

Le journal Libération confirme : “le bilan presque définitif confirme que certaines horreurs alléguées, parfois relayées hâtivement au plus haut niveau pour obtenir le soutien international, n’ont pas eu lieu”. Tout ce qui a été dit sur le massacre de bébés est entièrement faux : “Le mensonge de « 40 bébés massacrés par le Hamas » est parti d’une déclaration d’une correspondante de la chaîne israélienne i24 News (détenue par le milliardaire français Patrick Drahi également propriétaire de BFMTV), à partir d’un Kibboutz qui venait d’être libéré, le 10 octobre”.

Dans toute la presse occidentale, le décompte des victimes n’est fait qu’à partir des données officielles israéliennes. Comment se fait-il qu’en pleine propagande de guerre on ne prenne en compte que les données venant d’un seul camp ? D’ailleurs ces données sont déjà revues à la baisse par les autorités israéliennes elles-mêmes. Le porte parole israélien Mark Regev, ancien ambassadeur d’Israël au Royaune-Uni, déclare dans une interview accordée à MSNBC le 17 novembre 2023 : « nous avions initialement annoncé un chiffre de 1400 victimes, que nous avons ramené à 1200, car nous avons compris que nous avions surestimé, que nous nous étions trompés… » (Voir cette vidéo à 6mn45s). Confrontées à l’invraisemblance des chiffres annoncés, les autorités israéliennes effectuent un timide rétropédalage. Gageons que nous attendrons longtemps une liste des victimes vérifiable par des journalistes indépendants. Il en est de même au sujet des prétendus “viols de masse”. Nous apprenons en effet que des enquêtes sont en cours au sujet d’éventuelles “agressions sexuelles”. Le rétropédalage amène donc à requalifier les faits de “viols” en “agressions sexuelles”… lesquelles ne sont toujours pas prouvées. Wikipédia, tout en prenant nettement parti pour la version israélienne, avoue : “Néanmoins, le temps de l’enquête fait qu’aucune preuve matérielle n’est présentée avant début décembre 2023.” L’ONU-femmes reste prudente en déclarant être : “toujours alarmée par les récits de violence basées sur le genre le 7 octobre et appelle a une enquête rigoureuse”. Nombreux sont ceux qui ne s’embarrassent pas de tant de rigueur !

Les mensonges mille fois répétés deviendront-ils des vérités ?

Calomniez ! Calomniez ! Il en restera toujours quelque chose.

Jamais une entreprise du mensonge n’a été aussi monstrueuse que celle de l’Etat d’Israël depuis ce 7 octobre. Les journalistes qui essaient de faire leur métier n’ont jamais été autant en danger. Ils risquent leur vie quotidiennement pour nous faire parvenir des brides de vérité. 81 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis le 7 octobre. 77 journalistes tués à Gaza en quatre mois selon le décompte du CPJ. Un article de Médiapart qui veut leur rendre hommage précise : “Jamais autant de journalistes ne sont morts en si peu de temps, ni durant les deux guerres mondiales, ni durant les guerres du Vietnam, de Bosnie, d’Irak, d’Afghanistan, pour citer quelques-unes des plus meurtrières. En Ukraine, depuis deux ans, 17 journalistes ont été tué·es, selon le CPJ.”

La férocité du combat contre la vérité des sionistes est à la hauteur de leur projet… Ils sont accusés de génocide par la Cour Internationale de Justice. C’est un blocus de l’information qui est organisé à Gaza pour masquer toutes les atrocités auxquelles se livre l’armée des sionistes. Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël. Ne comptez pas sur ces criminels pour raconter ce qui s’est réellement passé le 7 octobre.

@Jean Dugenêt

 

« en France on est particulièrement bien servi en propagande venant directement d’Israël. » D’Israël et des Etats-Unis, la métropole de l’empire dont nous sommes une colonie.

 

Et pour cause : d’après The Times of Israel, “après Israël, les États-Unis ont la deuxième plus grande population juive, avec environ 6,3 millions de personnes. Les dix pays suivants sont la France (440 000), le Canada (398 000), le Royaume-Uni (312 000), l’Argentine (171 000), la Russie (132 000), l’Allemagne (125 000), l’Australie (117 200) et le Brésil (90 000). Ces chiffres sont basés sur les estimations du professeur Sergio Della Pergola de l’Université hébraïque de Jérusalem.

Israël est le dernier avatar du colonialisme « britannique » dont la genèse remonte au XIX° siècle avec l’idée de coloniser la Palestine avec des Juifs importés d’Europe pour en faire des fermiers de Judée et de Galilée (1)…Il faut des colons pour coloniser…qui donnera un peu à la fois le colonialisme de peuplement que l’on connaît (les anglais avaient assez affaire avec leurs colons dans le Commonwealth)

Le contexte géopolitique du XIX° est le démantèlement de l’empire ottoman en cours par l’Angleterre, la France, la Russie, l’Italie… coalisés, l’affaiblissement de l’Égypte par l’endettement (2), de la Banque ottomane également (3), le Canal de Suez « Nouvelle route des Indes », les navires steam-vapeur, puis le pétrole de cette région nouvel eldorado avec l’arrivée des moteurs à explosion…et de cette nouvelle énergie fossile bon marché qui allait changer la face du monde

Également anticipation aussi pour empêcher un fédéralisme des pays arabes pour remplacer cet empire ottoman que pouvait faire craindre la Nahda… et donc nécessité de contrôler la région https://fr.wikipedia.org/wiki/Nahda

En laissant de côté les émois insignifiants de Theodor Herzl (grand commis des banques européennes) avec l’affaire Dreyfus, et les ligues antisémites et antimaçonniques allemande et française, qui font partie du décor, les Accords de Sykes-Picot sont en cours de tricotage pour redessiner les frontières du Moyen-Orient. En résumé..

d’une part à l’idée d’une paternité juive, d’autre part à l’idée messianique d’un retour des Juifs en Palestine, car l’intention du locuteur était sans équivoque clairement coloniale. L’auteur en est Anthony Ashley Cooper, 7e comte de Shaftesbury, un Lord, le comte de Shaftesbury. « Un pays sans peuple pour un peuple sans terre »… “et les Juifs… reviendront probablement en plus grand nombre et redeviendront les cultivateurs de Judée et de Galilée.” (et les Juifs … y retourneront probablement encore en grand nombre, et deviendront une fois de plus les fermiers de Judée et de Galilée !) Religion et restaurationnisme juif Le « Mémorandum de Lord Shaftesbury aux monarques protestants d’Europe pour la restauration des Juifs à Palestine », publié dans le Colonial Times, en 1841, Shaftesbury était un étudiant d’Edward Bickersteth et ensemble, ils devinrent d’éminents défenseurs du sionisme chrétien en Grande-Bretagne.[33][34] Shaftesbury a été l’un des premiers partisans de la restauration des Juifs en Terre Sainte, fournissant la première proposition d’un homme politique majeur visant à réinstaller les Juifs en Palestine. La conquête de la Grande Syrie en 1831 par l’Égyptien Muhammad Ali a modifié les conditions dans lesquelles opéraient les politiques de puissance européennes au Proche-Orient. Grâce à ce changement, Shaftesbury fut en mesure de persuader le ministre des Affaires étrangères Palmerston d’envoyer un consul britannique à Jérusalem en 1838. Chrétien engagé et Anglais loyal, Shaftesbury plaida en faveur d’un retour des Juifs en raison de ce qu’il considérait comme des problèmes politiques et économiques. avantages pour l’Angleterre et parce qu’il croyait que c’était la volonté de Dieu. En janvier 1839, Shaftesbury publia un article dans la Quarterly Review, qui, bien que commentant initialement les Lettres de 1838 sur l’Égypte, Edom et la Terre Sainte (1838) de Lord Lindsay, constituait la première proposition d’un homme politique majeur visant à réinstaller les Juifs en Palestine : [35][36] > Le sol et le climat de la Palestine sont singulièrement adaptés à la croissance des produits nécessaires aux exigences de la Grande-Bretagne ; le coton le plus fin peut être obtenu en abondance presque illimitée ; la soie et la garance sont les produits de base du pays, et l’huile d’olive est aujourd’hui, comme toujours, la graisse même de la terre. Seuls le capital et l’habileté sont requis : la présence d’un officier britannique, et la sécurité accrue des propriétés que sa présence conférera, peuvent les inviter de ces îles à cultiver la Palestine ; et les Juifs, qui ne se consacreront à l’agriculture dans aucun autre pays, ayant trouvé, dans le consul anglais, un médiateur entre leur peuple et le Pacha, reviendront probablement en plus grand nombre encore et redeviendront les agriculteurs de la Judée et du Pacha. Galilée. [37] < Les préparatifs de la guerre de Crimée (1854), tout comme l’expansionnisme militaire de Muhammad Ali deux décennies plus tôt, ont marqué une ouverture à des réalignements au Proche-Orient. En juillet 1853, Shaftesbury écrivit au Premier ministre Aberdeen que la Grande Syrie était « un pays sans nation » ayant besoin d’« une nation sans pays… Existe-t-il une telle chose ? Bien sûr, il y en a, les anciens et légitimes seigneurs du sol, les Juifs !” Dans son journal cette année-là, il écrit : « ces vastes et fertiles régions seront bientôt sans dirigeant, sans pouvoir connu et reconnu pour revendiquer la domination. » le territoire doit être attribué à l’un ou l’autre… Il existe un pays sans nation ; et Dieu maintenant, dans sa sagesse et sa miséricorde, nous dirige vers une nation sans pays. « [38] [39] Ceci est communément cité comme une première utilisation de l’expression « Une terre sans peuple pour un peuple sans terre » par laquelle Shaftesbury faisait écho à un autre partisan britannique de la restauration des Juifs en Israël, (Dr Alexander Keith.) Buste d’Anthony Ashley-Cooper, par F. Winter, 1886. Dans la collection du musée du comté de Dorset, Dorchester. Shaftesbury fut président de la Société biblique britannique et étrangère (BFBS) de 1851 jusqu’à sa mort en 1885. Il écrivit à propos de la Société biblique : « De toutes les sociétés, celle-ci est celle qui me tient le plus à cœur… La Société biblique a toujours été un mot d’ordre dans notre maison. » Il fut également pendant quelque temps président de l’Alliance évangélique.[2]

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