Trump : « J’ai grandi dans un monde où tout évoluait politiquement autour d’Israël, le pouvoir était incroyable. »
“Un mauvais mot à propos d’Israël et vous étiez pratiquement hors de la politique.”
À Gaza 600 000 personnes risquent de mourir imminente de faim. Les témoignages sont terribles, les gens s’évanouissent dans la rue. La famine forcée n’est qu’une autre arme de guerre que le gouvernement Netanyahu entend faire avancer son plan criminel de colonisation de la Palestine.
Non seulement les bombes des FDI, qui ont frappé ces dernières heures les centres de distribution de nourriture faisant des centaines de victimes, Netanyahu a l’intention de continuer à exterminer la population civile de Gaza en faisant la famine. Nous recevons également des témoignages spectaculaires de travailleurs humanitaires, dont plusieurs Italiens, qui sont constamment bombardés et incapables d’opérer.
Comment Giorgia Meloni peut-elle ne pas bouger face à tout ça ? Comment ne pas laisser entendre la voix forte de l’Italie, pour ne pas irriter ses amis d’extrême droite ? Netanyahu doit être arrêté, ses crimes doivent être arrêtés immédiatement, le gouvernement italien ne peut pas rester là et regarder.
Commençons par les choses que nous avons demandées dans la motion au Parlement: engagement pour un cessez-le-feu immédiat, apport de toute l’aide humanitaire à la population palestinienne épuisée, libération des otages israéliens, suspension de l’accord d’association UE-Israël et du mémorandum de coopération militaire avec l’Italie, embargo Total sur le commerce d’armes avec Israël, la fin de l’occupation illégale et de la violence en Cisjordanie et la reconnaissance de l’État de Palestine comme d’autres États européens l’ont déjà fait
De la part du gouvernement italien et de l’Union européenne, nous avons besoin d’actions concrètes et d’une condamnation claire, nous ne pouvons pas simplement regarder. Arrêtons Netanyahu.
Introduction à la Hasbara
La Hasbara, terme hébreu signifiant “explication” ou “explication utile”, est une stratégie de communication développée par l’État d’Israël depuis sa création en 1948. Son origine se situe dans le besoin urgent de défendre l’image d’Israël face aux défis politiques et militaires posés par son environnement régional, ainsi que pour contrer la désinformation souvent perçue dans les médias internationaux. Au fil des décennies, la Hasbara a évolué pour intégrer divers moyens et canaux de communication, allant des supports traditionnels, comme la presse écrite, aux plateformes numériques modernes, telles que les réseaux sociaux.
La Hasbara doit être comprise comme un effort systématique pour promouvoir une image positive d’Israël à l’étranger, tout en justifiant ses décisions politiques, militaires et sociales sur la scène mondiale. L’État d’Israël a souvent réalisé que la perception internationale peut influencer ses relations diplomatiques, et, par conséquent, a adopté cette approche pro-active pour gérer son image. Des campagnes multiples et variées, qu’elles soient institutionnelles ou privées, visent à expliquer les complexités de la situation israélo-palestinienne, ainsi que les aspects culturels, historiques et socio-économiques qui font partie intégrante de la réalité israélienne.
En outre, la Hasbara s’inscrit dans un cadre plus large de diplomatie publique, visant à engager des audiences diverses et à susciter des dialogues constructifs. Cette stratégie inclut des initiatives auprès des étudiants, des universitaires, et des leaders d’opinion à travers le monde, dans l’espoir de créer une meilleure compréhension des enjeux qui touchent l’État d’Israël. À travers le temps, la Hasbara a démontré la capacité de s’adapter aux nouveaux défis, tout en continuant à remplir son rôle fondamental de projet d’explication et de justification sur la scène internationale.
Les Fondements de la Hasbara
La Hasbara, en tant que stratégie de communication de l’État d’Israël, repose sur plusieurs principes fondamentaux qui orientent son approche et ses actions. L’un des aspects clés de la Hasbara est sa construction sur des narrations spécifiques qui mettent en valeur les enjeux et les réussites d’Israël. Ces narrations servent à façonner la perception internationale du pays, en soulignant des thèmes tels que la démocratie, l’innovation technologique et les valeurs humanitaires. En privilégiant certains récits, la Hasbara vise à créer un lien émotionnel avec le public, afin de promouvoir une image positive d’Israël sur la scène mondiale.
Un autre fondement crucial de la Hasbara est le choix des canaux de communication. Israël utilise divers médias, des réseaux sociaux aux forums académiques, pour diffuser ces narrations. L’accent mis sur des plateformes modernes et interactives permet d’atteindre un public plus large et de contourner les filtres traditionnels des médias. Cette approche multicanale est essentielle pour toucher les différentes démographies, notamment les jeunes générations qui consomment l’information différemment. Cela permet aussi d’interagir directement avec les critiques, en répondant à leurs préoccupations avec des informations factuelles.
Par ailleurs, la Hasbara ne peut ignorer l’importance de l’histoire dans la construction de son message. Le récit historique d’Israël, ancré dans des événements marquants tels que la création de l’État en 1948 et les luttes pour sa survie, est souvent utilisé tout au long des campagnes de communication. En faisant référence à ces événements, la Hasbara cherche à justifier les actions d’Israël et à renforcer son droit à l’existence. En intégrant des récits historiques dans ses messages, Israël parvient à solidifier son identité tout en combatant les narrations adverses. Ainsi, la Hasbara repose sur un socle de narrations stratégiques et d’un choix de communication réfléchi pour réussir à promouvoir l’image d’Israël de manière efficace.
Les Lobbys Israéliens dans le Monde
Les lobbys israéliens jouent un rôle crucial dans la promotion des intérêts d’Israël à l’échelle internationale. Ces organisations, bien qu’opérant sous des structures variées, ont pour objectif commun de défendre la légitimité de l’État d’Israël et de contrer les discours critiques à son égard. Parmi les lobbys les plus influents, l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) est un acteur clé aux États-Unis. Cet organisme a su établir des relations solides avec des responsables politiques, des entreprises et des médias, influençant ainsi la politique étrangère américaine en faveur d’Israël. Leur capacité à mobiliser des ressources financières et humaines est significative et ne doit pas être sous-estimée.
Au Royaume-Uni, des groupes tels que BICOM (the Britain Israel Communications and Research Centre) œuvrent également pour renforcer les liens entre le Royaume-Uni et Israël. BICOM s’engage à fabriquer une image positive d’Israël à travers des recherches, des publications et des interactions avec les médias. Leur approche se concentre sur l’éducation du public britannique sur les questions relatives au Moyen-Orient, ce qui influe sur l’opinion publique et, par conséquent, sur les politiques gouvernementales.
En France, le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) agit en tant que voix centrale des communautés juives et d’Israël. Cette organisation joue un rôle actif dans le dialogue intercommunautaire et s’efforce d’aborder les questions de sécurité en lien avec la montée de l’antisémitisme. Les lobbys israéliens en Allemagne, comme le CCOJB (Conseil des Communautés Juives de Belgique et des Pays-Bas), travaillent également sur des initiatives similaires pour assurer que les politiques nationales soutiennent une image positive d’Israël.
Ces lobbys, par une combinaison d’activisme politique et de stratégies médiatiques, contribuent à la mise en avant des intérêts d’Israël dans différentes régions du monde. Leur travail est indispensable pour maintenir une perception favorable d’Israël face aux défis complexes qui se présentent sur la scène internationale.
La Hasbara en France
La Hasbara, qui signifie littéralement “explication” en hébreu, a pris une forme distinctive en France, où le discours autour d’Israël est souvent tissé de complexité et de controverse. Plusieurs organisations juives et pro-israéliennes activement engagées dans le cadre de la Hasbara en France participent à des initiatives variées, allant de l’éducation à la sensibilisation sur des questions liées à l’État d’Israël. Ces entités, allant des communautés locales aux organisations plus larges, jouent un rôle central dans la diffusion d’informations sur le pays, y compris ses politiques et ses défis sécuritaires.
Par exemple, le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions Juives de France) représente une voix importante dans la communauté juive française, cherchant à promouvoir une image positive d’Israël tout en militant contre l’antisémitisme. D’autres organisations comme le BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) et des initiatives étudiantes s’engagent à fournir des ressources et à organiser des événements qui favorisent une compréhension plus nuancée des réalités d’Israël. Ces démarches ont un impact significatif sur le discours public, affectant la perception collective d’Israël au sein de la société française.
Cependant, la Hasbara en France ne se limite pas à la simple présentation d’Israël en tant que nation. C’est aussi une réponse aux mouvements critiques envers le pays, notamment ceux qui se mobilisent autour de la question palestinienne. Cela entraîne des tensions qui peuvent exacerber les sentiments anti-israéliens ou anti-juifs. Les efforts de la Hasbara se heurtent donc parfois à des discours publics qui remettent en question les actions d’Israël, engendrant un besoin d’adapter les stratégies entreprises pour mieux faire face aux demandes d’authenticité et de responsabilité.
En conclusion, la Hasbara en France reflète les défis uniques auxquels Israël fait face à l’étranger. Grâce à diverses initiatives et organisations, elle vise non seulement à expliquer les actions israéliennes mais aussi à façonner les perceptions dans un climat public souvent polarisé.
Les Réactions et Controverses
La Hasbara, en tant que stratégie de communication officielle de l’État d’Israël, suscite des réactions variées tant au niveau national qu’international. D’un côté, elle est présentée comme un moyen nécessaire pour contrer ce que ses partisans considèrent comme une couverture médiatique déséquilibrée à l’encontre d’Israël. De l’autre côté, cette approche est souvent accusée de servir d’outil de dissimulation pour les politiques controversées du gouvernement israélien, notamment en matière de droits de l’homme et de traitement des Palestiniens.
Au sein de la communauté internationale, certaines critiques avancent que la Hasbara utilise des accusations d’antisémitisme pour dissuader les voix dissidentes ou celles qui osent critiquer les actions d’Israël. Ce phénomène est perçu comme problématique, car cela pourrait éroder la possibilité d’un débat sain sur des enjeux essentiels liés au conflit israélo-palestinien. Les détracteurs soulignent que cette stratégie de communication pourrait être interprétée comme une tentative de minimiser les préoccupations légitimes sur la politique israélienne.
Par ailleurs, l’effet de la Hasbara sur l’image d’Israël à l’étranger est ambivalent. Bien que certains groupes militent pour une image positive d’Israël dans le monde, la perception varie en fonction des contextes culturels et politiques. En effet, beaucoup de pays adoptent différents niveaux de sympathie ou d’hostilité envers le pays, influencés par des facteurs historiques, économiques et sociaux. Les campagnes de Hasbara sont souvent accueillies avec scepticisme par une partie du public, surtout lorsque les messages sont perçus comme propagande plutôt que comme une véritable explication des faits.
Dans ce climat chargé, il est donc crucial de naviguer entre une communication efficace et un respect des perceptions externes, afin de trouver un équilibre qui favorise une approche constructive et authentique face aux critiques reçues.
Les Protocoles des Sages de Sion
Les ‘Protocoles des Sages de Sion’ représentent un document controversé, souvent cité dans les discours antisémites, qui prétend exposer un plan secret des Juifs pour dominer le monde. Leur publication au début du XXe siècle a été conçue pour alimenter la méfiance et la stigmatisation envers les communautés juives, et, par extension, envers les discussions relatives à la Hasbara, la stratégie de communication d’Israël. Bien que ces protocoles aient été démontrés comme des faux, leur influence sur le discours public perdure, illustrant comment de fausses théories du complot peuvent subvertir l’opinion publique.
En s’appropriant des narrations historiques et en les distordant, ces protocoles contribuent à simplifier des problématiques complexes telles que celle de la politique israélienne et du soutien international. En effet, leurs effets délétères se manifestent souvent dans les débats contemporains, où les critiques légitimes de la politique israélienne peuvent être rapidement confondues avec les stéréotypes véhiculés par ces fausses théories. Dans cette dynamique, il devient d’autant plus difficile d’aborder la Hasbara sans que les interlocuteurs soient influencés par des biais préexistants liés aux protocoles.
Ce climat d’animosité et de méfiance entrave les efforts pour une discussion constructive autour des lobbys israéliens et de leur impact sur la politique mondiale. En déconsidérant la base théorique qui permet aux critiques de s’exprimer, les protocoles renforcent une dichotomie peu productive entre légitimité et antisémitisme. Il est, par conséquent, essentiel de dissocier les débats rationnels des préjugés perpétués par ces écrits, afin d’ouvrir la voie à une compréhension nuancée de la Hasbara et des enjeux présents.
Un Public de Plus en Plus Éclairé
Dans le paysage médiatique contemporain, on observe une transformation significative dans l’attitude du public envers la Hasbara, la stratégie de communication d’Israël. Cette évolution est marquée par une prise de conscience critique croissante parmi les individus à travers le monde, qui s’interrogent davantage sur les récits présentés par les lobbys israéliens et leurs motivations sous-jacentes. Les citoyens deviennent plus informés et capables d’analyser les informations à travers un prisme plus nuancé, engageant dans des discussions sur la politique israélienne et ses implications.
Les plateformes numériques jouent un rôle clé dans cette montée de l’éveil public. Les réseaux sociaux, en particulier, permettent une diffusion rapide et largement accessible d’un discours alternatif. Ces canaux ouvrent la voie à des voix variées, proposant des perspectives qui contrebalancent souvent les narrations traditionnelles enveloppées dans la Hasbara. De plus, on constate un intérêt croissant pour des sources d’informations alternatives qui remettent en question les récits dominants sur la situation au Moyen-Orient, ce qui contribue à une diversification des opinions.
La jeune génération, notamment, montre un engagement particulier dans ces questions. En utilisant des outils numériques pour s’éduquer et s’informer, elle ne se contente pas d’accepter passivement le discours établi. Cela conduit à une pression accrue sur les narrateurs traditionnels, les incitant à adapter leur message afin de mieux répondre à ces attentes et préoccupations émergentes. Les manifestations publiques, les groupes de défense des droits humains, ainsi que les mouvements de solidarité, sont également des indicateurs clés de ce changement dans l’opinion publique.
Il devient ainsi crucial pour les représentants de l’État israélien de s’adapter à ce nouveau contexte. Leurs stratégies de Hasbara doivent évoluer pour être en phase avec les attentes des citoyens éclairés d’aujourd’hui, qui recherchent un dialogue authentique et sincère. Ce besoin de transparence et d’honnêteté constitue un défi, mais aussi une opportunité pour réinventer le discours autour d’Israël et d’améliorer la compréhension de ses réalités complexes sur la scène internationale.
Les Médias et la Hasbara
La Hasbara, qui se traduit littéralement par “expliquer” en hébreu, représente un effort systématique d’Israël pour communiquer ses positions et narrations à la communauté internationale. Le rôle des médias, tant traditionnels que sociaux, dans la diffusion de cette stratégie est crucial. D’une part, les médias traditionnels, tels que les journaux, la télévision et la radio, fournissent une plateforme pour présenter des informations et des analyses sur le conflit israélo-palestinien. Cependant, ces médias peuvent parfois être biaisés, mettant en avant des récits qui peuvent influer sur la perception d’Israël de façon négative ou positive.
Les médias sociaux, quant à eux, jouent un rôle de plus en plus prépondérant dans l’architecture de la Hasbara. Avec la montée en puissance des plateformes telles que Twitter, Facebook et Instagram, il est devenu possible de toucher un public beaucoup plus large, tout en permettant une interactivité immédiate. L’information peut se propager rapidement, mais cela comporte également des risques. Les faux récits et les désinformations peuvent se répandre tout aussi vite, sapant les efforts de Hasbara. La rapidité de réponse des équipes de communication israéliennes sur ces plateformes est désormais essentielle pour contrer les refus ou les attaques ciblées qui circulent en ligne.
En outre, la polarisation croissante des médias doit être prise en considération. Les journalistes peuvent être influencés par leur propre perspective personnelle ou leur culture d’entreprise, ce qui peut avoir un impact significatif sur la manière dont les nouvelles sont rapportées. Cela souligne l’importance de fournir des informations véridiques et équilibrées, car une couverture médiatique rigoureuse est indispensable pour renforcer l’image d’Israël sur la scène mondiale. En fin de compte, la Hasbara se doit d’être proactive dans la gestion de son image, cherchant à construire des ponts de compréhension plutôt que de simplement réagir aux critiques.
Vers un Débat Sain
Dans le contexte actuel, l’importance d’engager un débat équilibré autour de la Hasbara et des lobbys israéliens ne saurait être sous-estimée. La Hasbara, qui signifie littéralement « explication » en hébreu, est une approche stratégique mise en œuvre par l’État d’Israël pour communiquer ses positions et défendre ses actions sur la scène internationale. Pour que cette communication soit efficace, un environnement de discussion sain et ouvert est essentiel.
Encourager des échanges constructifs implique de promouvoir une compréhension mutuelle des perspectives divergentes. Il est crucial de différencier la critique légitime, qui permet d’apporter un éclairage sur des questions complexes, de l’antisémitisme, qui vise à stigmatiser et déhumaniser un peuple. Ce discernement est fondamental pour éviter que les débats ne se polarise et ne deviennent contre-productifs. En favorisant un dialogue ouvert, où chaque partie peut exprimer ses préoccupations dans un cadre respectueux, on peut créer un terrain propice à la résolution des conflits et à l’amélioration des relations.
Les plateformes académiques et les initiatives intercommunautaires peuvent jouer un rôle clé dans la facilitation de ces discussions. En organisant des conférences, des débats et des ateliers d’échanges, ces espaces peuvent offrir des perspectives variées sur la Hasbara, tout en abordant les préoccupations de chacun de manière constructive. Analyser les enjeux d’une manière nuancée peut également contribuer à renforcer la légitimité de chaque position, qu’elle soit favorable ou critique à l’égard des politiques israéliennes.
En fin de compte, un débat sain autour de la Hasbara et des lobbys israéliens est non seulement bénéfique pour la société israélienne, mais également pour toutes les parties prenantes, permettant d’enrichir la compréhension des enjeux en présence. Cela ouvre la voie à une coopération internationale dans la lutte contre l’antisémitisme, tout en affirmant le droit à la critique lorsque cela est bien fondé.
1⃣ Les “viols et mutilations” de femmes juives lors de l’attaque du 07 octobre est, à ce jour, et sauf erreur de ma part, non démontré, et même contredit ;
2⃣ Le 07 octobre, il n’y a pas eu de “Pogrom” car l’attaque ne ciblait pas une religion.
En effet, c’est une attaque par un groupe armée d’un pays [la Palestine] contre un pays voisin qui le massacre depuis 80 ans [Israël], et dont une grande partie des morts sont des militaires, donc des victimes de la guerre.
Seuls les civils tués ou enlevés [enfants, personnes âgées, adultes non réservistes et non militaires], sont eux de vraies victimes, et pas d’un Pogrom, mais d’un crime de guerre, sur lequel la justice international devra se pencher et prendre les sanctions adéquates;
3⃣ Le chiffre de “1000% d’augmentation d’actes antisémites en France” est mensonger et sujet à vérification.
En effet, il est issu de la SPCJ [Service de Protection de la communauté Juive], cad du lobby sioniste mensonger et violent [pour rappel, ce sont eux qui ont frappé et gazé des militantes pro-Palestiniennes lors de la manifestation du 08 mars à Paris].
Il est donc légitime de douter de leurs chiffre.
Aussi, il serait intéressant de faire preuve de transparence en publiant la liste des “actes antisémites” afin que nous, citoyens, puissions contrôler la véracité des faits.
En exemple, plusieurs actes médiatisé comme antisémites se sont avérés être un acte d’auto-mutilation, ou un litige entre des individus de confession juive, ou encore une manifestation de soutien à Israël, par un couple de Moldaves, commandités par un oligarque Russe ;
4⃣ La communauté qui subit la plus grande violence raciste et la communauté arabo-musulmane, dont la stigmatisation est organisée par les médias, les politiciens, le gouvernement, et vous-même Mme Berger. S’il y a bien des assises à organiser en urgence, c’est bien celle de la lutte contre toutes les formes de racisme, dont celle contre cette communauté ;
5⃣ L’anti-sionisme ce n’est pas de l’antisémitisme.
Il s’agit de la lutte contre le lobby israélite dangereux qui déstabilise la situation politique mondiale, gangrène les médias Français, dicte aux dirigeants la politique nationale et internationale à mener, incite à la haine des arabos-musulmans, vole les terres de Palestine et massacre sa population.
Je suis fière d’être antisioniste #JeSuisAntiSioniste
Fantastic. Soldiers arrested in Belgium, passengers blocked from entering in Greece, patrons kicked out of an Italian restaurant. This will turn into a flood of denial (of access, entry and service) and hate for Israelis, who will claim to have no clue whatsoever as to why it's… https://t.co/qI463R1DzC
— Alon Mizrahi (@alon_mizrahi) July 22, 2025

Pieds-noirs, têtes vides et cœurs pleins de haine. pic.twitter.com/YlBrOLvpd2
— Café Littéraire ☕️ (@C_litteraire) July 20, 2025