“Derrière toute grande fortune se cache un grand crime.” Honoré de Balzac

stopper une politique qui nous conduit tout droit vers l’échec.

Le sionisme gangrène l’occident et ses institutions. Ils sont tous au garde à vous!

La bureaucratie, la verticalité du pouvoir, la laïcité bafouée, l’école affaiblie, la souveraineté entamée.  On en revient à mon constat de départ : la France est désabusée.

Sept années d’Emmanuel Macron : une explosion de la dépense publique

Les sept années de présidence d’Emmanuel Macron ont été marquées par une augmentation significative de la dépense publique en France. Malheureusement, cette tendance nous place bientôt en dernière position en Europe, alors que des pays comme le Portugal ont réussi à redresser leurs finances et que la Grèce suit le même chemin.

Des dépenses publiques en constante dégradation

Cette explosion de la dépense publique fragilise notre économie et notre souveraineté. Malgré les promesses de réformes, nos dépenses publiques continuent inlassablement de se dégrader. Les conséquences sont nombreuses et touchent tous les domaines de la société.

Des conséquences préoccupantes

L’autorité de l’État est bafouée, ce qui nuit à la confiance des citoyens envers leurs dirigeants. L’école de la République ne cesse de se dégrader, compromettant ainsi l’avenir de nos enfants. De plus, l’accès à la santé devient de plus en plus difficile, mettant en péril le bien-être de la population.

Il est urgent de prendre des mesures concrètes pour inverser cette tendance et réduire la dépense publique. Cela permettra de renforcer notre économie, de préserver notre souveraineté et d’améliorer la qualité de vie de tous les citoyens français.

Quand il s’agit de il faut contextualiser et remonter le temps mais quand il s’agit du génocide à Gaza, l’histoire commence le 07/10/23 et non pas en 1948, Quelle hypocrisie !

quelle aurait été la réaction de la si l’une de ses ambassades avait été rasée?

Huit ONG, dont Amnesty International, ont déposé trois référés devant le tribunal administratif de Paris pour que le gouvernement français suspende ses ventes d'armes à Israël. Sébastien Lecornu ne nie pas les accusations mais affirme que l'armement vendu à l'État hébreu est destiné à de la «réexportation» vers d'autres pays.

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Huit ONG, dont Amnesty International, ont déposé trois référés devant le tribunal administratif de Paris pour que le gouvernement français suspende ses ventes d’armes à Israël. Sébastien Lecornu ne nie pas les accusations mais affirme que l’armement vendu à l’État hébreu est destiné à de la «réexportation» vers d’autres pays. huit-ong-contestent-devant-justice-livraisons-armes-israel

Huit ONG, dont Amnesty International, ont déposé trois référés devant le tribunal administratif de Paris pour que le gouvernement français suspende ses ventes d’armes à Israël.

Sébastien Lecornu ne nie pas les accusations mais affirme que l’armement vendu à l’État hébreu est destiné à de la «réexportation» vers d’autres pays. Lire aussi La France a armé en catimini Tsahal avec la livraison de 100 000 cartouches Huit associations ont déposé trois référés distincts devant le tribunal administratif de Paris pour contester les ventes d’armes françaises à Israël.  Dans un communiqué du 11 avril, Amnesty International a justifié sa démarche, visant à stopper «des licences d’exportation de matériels de guerre pour les catégories ML5 (matériels de conduite de tir) et ML15 (matériels d’imagerie) à destination de l’État d’Israël». Le 9 avril, l’ONG Action sécurité éthique républicaines (ASER) a également saisi le tribunal pour demander «la suspension d’une licence d’exportations de matériels de guerre relevant de la catégorie ML3 (munitions et éléments de munitions) à destination d’Israël». Un autre collectif d’associations et de syndicats doit déposer un référé pour demander la cessation «de toutes les licences d’exportation de matériels de guerre et de biens à double usage à destination d’Israël».  Parmi les autres contestataires, Attac, la Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), l’Association France Palestine solidarité (AFPS), l’Association des Marocains de France (AMF), le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT) et l’Union syndicale solidaires. Paris affirme que les armes pour Israël seront réexportées vers d’autres pays Les organisations soutiennent que «les armes et les équipements militaires que la France exporte vers Israël sont utilisés pour commettre de graves crimes contre des populations civiles dans la bande de Gaza occupée». Elles estiment que «la France viole les règles internationales relatives notamment au Traité sur le commerce des armes», risquant ainsi de devenir complice «de violations du droit international – y compris de crimes de guerre – et d’un possible génocide». À ce propos, le président d’Amnesty International France Jean-Claude Samouiller indique que «la France ne peut pas ignorer le fait que des composants français pourraient être utilisés dans la bande de Gaza car assemblés dans des armes israéliennes».

De surcroît, le communiqué de l’organisation pointe du doigt la conclusion de la Cour internationale de justice du 26 janvier dernier et le risque selon elle plausible de génocide sur la population gazaouie.  Face aux accusations à l’encontre du gouvernement français, notamment depuis l’enquête des médias Disclose et Marsactu, le ministre des Armées Sébastien Lecornu n’a pas démenti le 26 mars les informations mais assuré que les ventes d’armes à Israël étaient défensives ou destinées à la «réexportation» vers d’autres pays. La licence délivrée par l’État «ne donne pas droit à l’armée israélienne d’utiliser ces composants», a assuré le ministre.

Avant d’ajouter : «Notre démarche est complètement transparente, on n’a rien à cacher.» L’enquête précisait que la France avait livré plus de 100 000 cartouches à la société israélienne IMI Systems. Cet équipement permet notamment les tirs en rafale pour les mitraillettes Neguev 5 des soldats de Tsahal. Cette arme a été utilisée lors du «massacre de la farine», le 29 février. Le Canada a récemment annoncé la suspension des ventes d’armes à Israël. Les Pays-Bas ont bloqué toutes exportations de pièces détachées pour l’avion de combat F-35, la Belgique a suspendu deux licences de vente de poudre à canon, la société japonaise Itochu Corporation a mis fin à son partenariat avec la société israélienne Elbit Systems et enfin l’Espagne a déclaré ne pas avoir vendu d’armes à Israël depuis le 7 octobre.

‘Les Palestiniens n’ont pas d’armée, nous avons donc décidé d’être votre armée’

L’avocat français Gilles Devers a annoncé qu’il avait réussi à rassembler 300 avocats de différentes nationalités et religions, et que leur nombre augmente très rapidement et devrait atteindre 3 000 avocats.

L’avocat a déclaré qu’il s’adresserait à la Cour pénale internationale pour enquêter sur les crimes de l’occupation depuis le 7 octobre et qu’il présenterait des preuves et des documents indiquant que l’occupation a commis des crimes de « génocide » contre les Palestiniens.

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