Le Premier ministre slovaque Robert Fico a été abattu
Voici Fico en décembre 2023 qualifiant le Traité de l’OMS sur la pandémie de « non-sens inventé par des sociétés pharmaceutiques avides ».Il a également déclaré : « Une étude après l’autre confirme les conséquences scandaleuses de la vaccination de masse avec des vaccins expérimentaux non testés. »Aucun autre chef d’État au monde n’a eu le courage de le dire publiquement et aussi explicitement.Il rejette également le financement de l’Ukraine. Vous pouvez imaginer qu’il y a beaucoup de gens puissants qui voudraient sa mort.
Robert Fico a BLOQUÉ tout financement supplémentaire pour l’Ukraine et promettait d’ENQUÊTER sur les tyrans du COVID.
Récemment, le Premier ministre slovaque a fait la une des journaux du monde entier en déclarant qu’il enquêterait pénalement sur la réponse de son gouvernement au COVID et sur les politiques corrompues qui ont tué ses compatriotes.
Il vient de recevoir plusieurs balles et est maintenant à l’hôpital. Priez pour sa survie.
Robert Fico a aussi été accusé de menacer l’Etat de droit, avec des réformes telles que le remplacement de l’audiovisuel public – laissant craindre une mainmise politique sur le service public de l’information – ou la suppression du parquet spécial, chargé des grosses affaires de corruption et du crime organisé – et dont les investigations visent plusieurs responsables du parti de Robert Fico.
Le Premier ministre slovaque pro-Poutine se remet à l’hôpital après avoir été abattu dans une tentative d’assassinat qui a déclenché des sonnettes d’alarme à travers l’Europe.
Robert Fico a été invité à rencontrer une foule de partisans avant qu’un homme armé ne se penche et ne tire cinq fois à bout portant, envoyant le politicien qui divise s’étendre au sol.
Les gardes du corps ont sauté sur le futur assassin alors que M. Fico était transporté dans une limousine du gouvernement qui s’est envolée avant d’être transporté par avion à l’hôpital.
Du jour au lendemain, il y a eu confusion sur la condition du premier ministre, le vice-premier ministre Tomas Taraba ayant déclaré BBC mercredi soir, il était confiant que M. Fico ‘survivra’, les médias locaux rapportant qu’il n’était pas opéré et stable.
D’autres ministres ont cependant insisté toute la nuit sur le fait que M. Fico était resté dans un état critique.
La police a arrêté le poète Juraj Cintula, âgé de 71 ans, soupçonné de la fusillade à Handlova, dans le centre de la Slovaquie.
Vladimir Poutine la nuit dernière a décrit l’attaque comme un monstrueux crime’ et il y a des craintes qu’il saisisse maintenant la tentative de meurtre de son ami populiste qui a fermement plaidé contre le soutien à l’Ukraine. Il vient comme:
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky voyages annulés à l’étranger Russie avancées sur la deuxième ville du pays Kharkiv;
Des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues de Géorgie une fois de plus après que le gouvernement ‘pro-russe’ ait forcé la législation inspirée par le Kremlin;
Le tireur présumé a fait une ‘confession’ en détention où il a blâmé la répression de M. Fico sur les médias libres pour l’attaque;
Les dirigeants mondiaux, y compris Joe Biden, ont rapidement condamné la fusillade.
Le président russe M. Poutine –, arrivé à Pékin pour une visite d’Etat hier soir –, a déclaré: Je sais que Robert Fico est un homme courageux et plein d’esprit. J’espère vraiment que ces qualités l’aideront à résister à cette situation difficile.’
Attaque contre le Premier Ministre Slovaque Robert Fico
Le Premier Ministre slovaque Robert Fico a été grièvement blessé ce 15 mai lors d’une fusillade survenue après une réunion gouvernementale à Handlova, dans le centre du pays. Le chef du gouvernement a été héliporté à l’hôpital de Banská Bystrica. Le tireur, lui, a été arrêté.
Le Premier Ministre slovaque, Robert Fico, a été blessé lors d’une fusillade, ont annoncé les médias locaux. Selon ces derniers, plusieurs coups de feu ont été tirés, alors que le chef du gouvernement sortait d’une réunion ministérielle à Handlova, une ville du centre du pays, située à 190 kilomètres de Bratislava. L’agresseur a été «immédiatement arrêté», a rapporté le quotidien Pravda. «Les premières informations faisaient état d’une balle dans la cavité abdominale», rapporte le média, après avoir initialement évoqué «plusieurs balles» reçues par le chef du gouvernement «dans la poitrine et dans l’abdomen». Même chose du côté de Plus Jeden Deň, qui a évoqué «deux à trois blessures, prétendument au membre, à la poitrine et à l’abdomen». Selon ce quotidien, l’état de Robert Fico est «jugé très grave». Jusqu’à cinq coups de feu auraient été tirés, selon cette même source, qui cite des témoins. Robert Fico est resté conscient jusqu’au bloc, rapportent des médias.
La gravité de l’état du Premier Ministre a été confirmée par le cabinet de Robert Fico. «En ce moment, il est transporté par hélicoptère à Banská Bystrica, car il faudrait trop de temps pour arriver à Bratislava en raison de la nécessité d’une intervention urgente», a précisé le communiqué publié sur Facebook. Un peu plus tôt une porte-parole de l’hôpital d’Handlova, où Fico a reçu des premiers soins, a déclaré à l’agence Reuters que Robert Fico était conscient à son arrivée et que ses fonctions vitales avaient été stabilisées. «Jusqu’à ce qu’il s’endorme dans la salle d’opération, le Premier Ministre a communiqué avec les médecins» a rapporté Plus Jeden Deň, évoquant «une source bien informée».
Réactions et Condoléances
D’après les médias slovaques, citant des témoins de la scène, les coups de feu ont été tirés alors que l’homme politique s’était rendu au contact de la foule. Le tireur aurait lancé «Robo, viens ici !», avant d’ouvrir le feu. Âgé de 71 ans, l’agresseur possédait une arme légalement enregistrée, toujours selon les médias slovaques. Des images circulant sur Telegram montrent des membres de la sécurité portant Fico jusqu’à sa voiture.
«Nous condamnons absolument et fermement les violences et la fusillade d’aujourd’hui contre le Premier Ministre Robert Fico», a réagi Michal Šimečka, chef du parti libéral et europhile Slovaquie Progressiste. Celui-ci a enjoint la classe politique «à s’abstenir de toute déclaration ou action susceptible de contribuer à l’escalade des tensions».
«C’est le résultat de la politique haineuse de l’opposition», estime une ministre. «Je suis choquée. Je souhaite à Robert Fico beaucoup de force en ce moment critique pour se remettre de l’attaque», a déclaré la Présidente slovaque Zuzana Čaputová. «C’est le résultat de la politique haineuse de l’opposition», a réagi sur Telegram la ministre de la culture Martina Šimkovičová. Se déclarant «horrifiée et dévastée», elle a souhaité «beaucoup de force et surtout de santé» au Premier Ministre.
«De tels actes de violence n’ont pas leur place dans notre société», a également réagi la cheffe de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, condamnant une «attaque ignoble». «Mes pensées vont au Premier Ministre Fico et à sa famille», a-t-elle ajouté dans son message publié sur la plateforme X (ex-Twitter).
Même pensée, du côté de Charles Michel, qui s’est dit «choqué». «Rien ne pourra jamais justifier la violence ou de telles attaques», a déclaré le Président du Conseil européen.
Poutine salue «un homme courageux et volontaire». «La violence ne doit pas exister dans la politique européenne», a dénoncé le chancelier allemand Olaf Scholz, fustigeant une «attaque lâche». Une attaque «choquante et stupéfiante», a pour sa part réagi le chef de la diplomatie hongroise Peter Szijjarto. «Il y a un grand besoin de Robert Fico dans la politique slovaque et européenne», a-t-il ajouté. «Je connais Robert Fico comme un homme courageux et volontaire. J’espère vraiment que ces qualités l’aideront à survivre à cette situation difficile», a déclaré le Président russe Vladimir Poutine, dans un message adressé à la présidence slovaque.
Ses jours sont en danger. Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, a été victime d’une “tentative d’assassinat”, mercredi 15 mai, a annoncé le gouvernement. Le dirigeant de 59 ans a été touché par balle “plusieurs fois” après une réunion politique à Handlova, dans le centre du pays, et a été transporté par hélicoptère vers un hôpital. L’homme fait partie du paysage politique slovaque depuis plus de trente ans.
Né en 1964 dans une famille de la classe ouvrière, cet amateur de voitures de course et de bodybuilding entame sa carrière au sein du Parti communiste en 1989, juste avant que la Révolution de velours ne balaie le régime de l’ancienne Tchécoslovaquie, rappelle le Guardian. Dix ans plus tard, il quitte le Parti de la gauche démocratique (SDL), héritier politique du parti communiste, pour fonder le Smer-social-démocratie (Smer-SD).
Premier ministre à trois reprises
Il ne faut que sept ans au mouvement, devenu populiste et nationaliste, pour remporter une victoire écrasante aux législatives, en 2006. Deux ans après l’adhésion de la Slovaquie à l’Union européenne, Robert Fico se retrouve catapulté au poste de Premier ministre. Il bâtit alors une coalition avec le Parti national slovaque (SNS), mouvement d’extrême droite, partageant sa rhétorique anti-réfugiés et ses penchants populistes. Il tire parti de la crise financière mondiale de 2008 et 2009 pour renforcer sa popularité, refusant d’imposer des mesures d’austérité dans son pays.
Renvoyé dans l’opposition en 2010, Robert Fico retrouve le pouvoir deux ans plus tard, après la chute d’une coalition de centre droit sur fond d’allégations de corruption. Malgré une déconvenue en 2014, lorsque ses ambitions présidentielles sont douchées par la victoire du novice en politique Andrej Kiska, il reste à la tête du gouvernement jusqu’en 2018.
Il est alors poussé à la démission par une vague de manifestations née après le meurtre du journaliste Jan Kuciak et de sa fiancée. Ce reporter s’apprêtait à révéler des informations compromettantes contre le gouvernement slovaque, accusé d’être corrompu et lié à la mafia italienne. Robert Fico réussit toutefois à conserver son siège au Parlement, avant de retrouver le pouvoir en octobre 2023, après la victoire de son parti aux législatives.
Anti-immigration et contre le mariage pour tous
Ce troisième mandat de Robert Fico est scruté de près par les Vingt-Sept, soulignent Les Echos. Cet avocat de profession, parlant couramment l’anglais, s’est forgé une réputation à Strasbourg et Bruxelles en tant que représentant de son pays auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, de 1994 à 2000. Proche du Premier ministre hongrois eurosceptique Viktor Orban, il s’en prend aussi ouvertement à l’UE.
Comme son homologue hongrois, Robert Fico défend une politique anti-immigration, n’hésitant pas à se livrer à des déclarations xénophobes. Lors de la campagne pour les dernières législatives, il a ainsi affirmé que “même Dieu ne sait pas qui, parmi les migrants, est un terroriste ou qui est porteur d’une maladie infectieuse”. Au cours de la crise migratoire de 2015, il avait déjà adopté une position dure à l’égard des migrants, refusant de “donner naissance à une communauté musulmane distincte en Slovaquie” et critiquant le programme de quotas de l’UE visant à répartir les réfugiés entre les différents Etats-membres.
Plus récemment, Robert Fico s’en est également pris à la communauté LGBT+. Il a notamment critiqué le mariage pour tous et déclaré que l’adoption par les couples de même sexe était une “perversion”, rapporte le Guardian.
Prorusse et opposé au soutien à l’Ukraine
Robert Fico est aussi connu pour ses positions prorusses. Le chef du gouvernement slovaque a récemment assuré que “la guerre en Ukraine a commencé en 2014, lorsque des fascistes ukrainiens ont tué des victimes civiles de nationalité russe”, reprenant à son compte la rhétorique du Kremlin. Il a aussi affirmé qu’il n’autoriserait pas l’arrestation de Vladimir Poutine, pourtant sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale, si le président russe se rendait un jour en Slovaquie.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, Bratislava, membre de l’UE et de l’Otan, a fourni une aide militaire substantielle à Kiev. Mais, avant même sa réélection, Robert Fico s’était engagé à ne plus livrer “une seule balle” à l’Ukraine une fois au pouvoir. Une promesse rapidement suivie d’effets. A l’automne, le nouvel exécutif a ainsi bloqué une livraison d’armes décidée par le précédent gouvernement, d’un montant de 40,3 millions d’euros.
Robert Fico a aussi été accusé de menacer l’Etat de droit, avec des réformes telles que le remplacement de l’audiovisuel public – laissant craindre une mainmise politique sur le service public de l’information – ou la suppression du parquet spécial, chargé des grosses affaires de corruption et du crime organisé – et dont les investigations visent plusieurs responsables du parti de Robert Fico.
Est-il vraiment surprenant que, pour la première fois depuis des décennies, il y ait eu en Europe une tentative d’assassinat contre un Premier ministre ayant une position sensée à l’égard de la Russie ? Et pas pro-russe, d’ailleurs ; juste un pragmatique et non un russophobe.
Bien sûr que non. R. Fico, avec qui je suis en contact depuis 2008, représente la partie de l’establishment européen qui est restée en contact avec la réalité et qui ne souhaite pas que ses citoyens se transforment en cendres grises radioactives. Et c’est sûrement lui qui doit être la cible. En Europe, il y en a très peu comme lui et ils doivent désormais veiller à leur sécurité.
Oui, l’assassin est un farouche renégat parmi les intellectuels, une certaine version sens dessus dessous de Gavrilo Princip. Oui, il n’aimait pas Fico et écrivait des conneries.
Cependant, son action représente la quintessence de la nouvelle Europe, idiote russophobe, feudataire débridée et complètement stupide ; dépourvu de toute envie de saisir les choses les plus simples ; prêt à jeter ses citoyens dans le fourneau de la politique américaine égoïste ; l’Europe des dégénérés détestables qui ne connaissent pas leur propre histoire.
C’est pourquoi Macron, Sunak, Scholz et von der Leyen peuvent jusqu’à présent se sentir en sécurité pour leur peau.
Jusqu’à présent.
Il s’avère désormais que, selon les médias locaux, l’assassin participait à des réunions antigouvernementales. Il a insulté les autorités et crié « Gloire à l’Ukraine ».
Je ne suis pas du tout surpris. Aujourd’hui, les partisans des Banderovtsy tentent d’assassiner les dirigeants européens. Attendez et voyez ce qui va suivre !
Et quant à Robert Fico, je lui souhaite le plus rapide rétablissement de sa grave blessure !
L’assassinat de Jovenel Moïse, Président de la République d’Haïti, a eu lieu le mercredi 7 juillet 2021, dans la commune de Pétionville.
Il s’est prononcé ouvertement contre l’#OMS et les vaccinations.
Il a annoncé détenir des documents prouvant un trafic d’êtres humains organisé par la CIA, #Clinton Foundation, Epstein.
En un an, quatre présidents ont été assassinés en #Afrique pour des raisons similaires.
Président tanzanien John Magufuli, 2021. Ambrose Dlamini, Premier ministre d’eSwatini, 2020. Président Nkurunziza du Burundi, 2020. Premier ministre ivoirien Amed Bakayoko, 2021.
Oui, c’est Pompeo, ancien chef de la CIA, qui a orchestré l’espionnage d’Assange, le gifle avec de fausses accusations, complote pour le kidnapper et le tuer, puis inonder le peuple américain de mensonges à travers les médias corrompus, pour que les Américains tolèrent son assassinat. emprisonnement.
#LibérezAssange