$7000 per post: Israel paying undisclosed US influencers amid Gaza backlash
— WikiLeaks (@wikileaks) October 1, 2025
The Israeli government is paying US content producers up to $7000 per post as part of a major increase in budget for global influence campaigns. “We have to fight with the weapons that apply to the… pic.twitter.com/8CwDiOaYQa
The Prime Minister of Israel is openly meddling in American politics. https://t.co/U5flQWmacR pic.twitter.com/TzMaueqslL
— Tucker Carlson Network (@TCNetwork) October 2, 2025
Wtf happened to him? https://t.co/yCbXxsBuiL
— Dr. Anastasia Maria Loupis (@DrLoupis__) October 1, 2025
BREAKING: The Global Sumud Flotilla boats Florida and All In have been seized by occupation forces, with all crew members taken.pic.twitter.com/4Vx5Q1jj0J
— Jackson Hinkle 🇺🇸 (@jacksonhinklle) October 2, 2025
Netanyahu annonce qu’aucune aide alimentaire ne sera acheminée à Gaza, quelles que soient les circonstances : « J’ai donné l’ordre de ne laisser aucun navire de la flottille [Global Sumud Flotilla] atteindre Gaza, quelles que soient les circonstances. »
Sous Trump, « l’Amérique d’abord » signifie en réalité « Israël d’abord ».
7000 $ par post : Israël paie des influenceurs américains non divulgués au milieu de la réaction à Gaza
Le gouvernement israélien paie les producteurs de contenu américains jusqu’à 7000 $ par post dans le cadre d’une augmentation majeure du budget des campagnes d’influence mondiales. « Nous devons nous battre avec les armes qui s’appliquent aux champs de bataille dans lesquels nous nous engageons, et les plus importantes sont sur les médias sociaux », a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à un groupe d’influenceurs juifs basés aux États-Unis à New York cette semaine.
Un document déposé en septembre 2025 par Bridges partners LLC au nom du « Gouvernement d’Israël par l’intermédiaire de Havas Media Group » en vertu de la loi américaine sur l’enregistrement des agents étrangers (FARA) détaille les « paiements initiaux pour la production et les influenceurs. Développement du concept avec chaque influenceur. Commencez à vous mettre en relation avec des partenaires de contenu israéliens et à rédiger un premier message », entre autres éléments. Plus de la moitié du total de 900 000 dollars semble être allouée au recrutement et à la formation d’une cohorte de plus d’une douzaine d’influenceurs en ligne basés aux États-Unis qui devraient publier du contenu pro-israélien.
La campagne s’inscrit dans le cadre d’une campagne d’influence plus large des autorités israéliennes dans un contexte d’effondrement du soutien public aux États-Unis et ailleurs alors que le génocide de Gaza entre dans sa troisième année. Fin 2024, le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a négocié une multiplication par 20 du budget de l’influence étrangère, obtenant ainsi 150 millions de dollars. Entre autres initiatives, Israël verse maintenant 1,5 million de dollars par mois à l’ancien stratège de la campagne numérique du président Donald Trump, Brad Parscale, pour produire des « communications stratégiques », en utilisant des outils d’IA pour générer des milliers de variantes de messages pro-israéliens. Parscale est désormais enregistré en tant qu’agent étranger.
“Nous devons nous battre. Comment se défendre ? Nos influenceurs », a déclaré Netanyahu lors du rassemblement à New York en septembre.
Introduction : Contexte et enjeux
La situation à Gaza demeure une préoccupation majeure au niveau international, exacerbée par des tensions politiques, sociales et humanitaires. En 2023, la bande de Gaza, qui abrite environ deux millions de Palestiniens, continue de faire face à des défis importants, notamment en termes d’accès à l’eau, à l’électricité et à des soins médicaux adéquats. Les différentes initiatives d’aide humanitaire, bien que nombreuses, sont souvent entravées par des restrictions imposées par l’État israélien. Dans ce contexte, les déclarations récentes du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, concernant l’aide alimentaire ont été interprétées comme une tentative de manipulation de l’opinion publique internationale.
Netanyahu a affirmé que l’aide alimentaire envoyée à Gaza servait à soutenir les populations dans le besoin, tout en insinuant que les organisations qui offrent cette aide pourraient être utilisées à des fins de terrorisme. De telles déclarations soulèvent des enjeux éthiques et juridiques quant à la responsabilité d’Israël dans la crise humanitaire qui se déroule sur son territoire voisin. Les répercussions de ces annonces sur les relations internationales et les initiatives d’aide humanitaire sont significatives, d’autant plus que l’opinion publique mondiale est de plus en plus mobilisée autour de la question palestinienne.
Les tensions entre Israël et les initiatives d’aide internationale se trouvent donc à un point critique. Cette dynamique complexe soulève des questions sur la manière dont les acteurs internationaux réagissent face à la crise humanitaire à Gaza et sur la pertinence des stratégies israéliennes d’influence. Il est essentiel de comprendre comment ces enjeux interagissent pour saisir l’ensemble des implications qu’ils ont sur la paix et la stabilité dans la région. Ce contexte met en lumière les défis qui se dressent devant les efforts d’aide humanitaire vis-à-vis des politiques d’Israël, créant ainsi un tableau délicat à naviguer pour les acteurs humanitaires et les gouvernements internationaux.
Les déclarations de Netanyahu : comprendre la position israélienne
Les récents commentaires du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu concernant l’interdiction de l’aide alimentaire à Gaza suscitent des débats importants tant sur le plan humanitaire que politique. Netanyahu a justifié cette décision en évoquant la nécessité de protéger la sécurité israélienne face aux menaces perçues issues du territoire gazaoui. Selon lui, toute assistance qui pourrait parvenir à Gaza serait détournée par des groupes militants, notamment le Hamas, au lieu de servir les besoins de la population civile. Cette position souligne la tension entre les considérations sécuritaires d’Israël et les conséquences humanitaires graves pour la population gazaouie.
Les déclarations de Netanyahu ont provoqué des réactions diverses au sein de la communauté internationale, allant de la condamnation à des appels à un retour au dialogue pour une paix durable. Les effets de cette interdiction sur la population de Gaza, déjà éprouvée par des années de conflit et de blocus, sont préoccupants. L’accès limité aux ressources alimentaires de base pourrait aggraver la crise humanitaire existante, exacerbant le mal-être général et entraînant potentiellement des troubles sociaux.
De plus, les implications politiques de cette stratégie sont significatives. En adoptant une position ferme contre l’aide à Gaza, le gouvernement israélien souhaite peut-être renforcer l’unité interne face à des menaces extérieures. Cependant, cela risque également d’attiser la colère des Palestiniens et d’autres acteurs internationaux, pouvant engendrer une montée des tensions qui complique davantage un avenir déjà incertain. Les déclarations publiques des dirigeants, telles que celles de Netanyahu, jouent un rôle clé dans la formation de l’opinion publique à la fois en Israël et à l’étranger, influençant ainsi les dynamiques de paix dans la région.
L’Amérique d’abord : l’influence de la politique américaine sur Israël
Le slogan “L’Amérique d’abord”, popularisé sous la présidence de Donald Trump, a profondément façonné la dynamique des relations américano-israéliennes. Ce principe a été interprété comme une approche qui priorise les intérêts nationaux américains tout en renforçant le soutien indéfectible des États-Unis envers Israël, notamment dans le contexte des conflits au Moyen-Orient. Les décisions politiques durant cette période ont mis en lumière une alliance stratégique, accentuant le rôle des États-Unis comme principal défenseur d’Israël sur la scène internationale.
Une des actions marquantes de cette politique a été le soutien inconditionnel fourni par l’administration Trump lors de divers affrontements entre Israël et les groupes militants à Gaza. Les choix diplomatiques effectués par les États-Unis ont distordu les équilibres géopolitiques régionaux, favorisant des initiatives israéliennes auprès des organismes internationaux. En effet, des mesures comme la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël ont exacerbé les tensions tout en étant présentées comme des avancées positives pour la sécurité israélienne.
La politique “L’Amérique d’abord” a également engendré un climat d’immunité pour Israël, facilitant des actions militaires sans crainte de répercussions directes de la part des États-Unis. Cela a suscité un débat international sur le rôle des Américains dans la pérennisation de ce conflit, avec des accusations selon lesquelles cette approche ne prenait pas suffisamment en compte les droits des Palestiniens et ne favorisait pas une solution pacifique à long terme.
La relation privilégiée entre les États-Unis et Israël, renforcée par cette politique, constitue un enjeu majeur dans le paysage politique du Moyen-Orient. La perception américaine du conflit est souvent influencée par une histoire d’alliances stratégiques qui relèvent autant de considérations de sécurité que de valeurs culturelles, plaçant le soutien à Israël au cœur de l’agenda politique américain dans la région.
L’influence des médias sociaux : une nouvelle frontière de communication
Au cours des dernières années, les médias sociaux ont émergé comme un outil déterminant dans les stratégies de communication des États, y compris Israël. Cette évolution a transformé la manière dont les messages, en particulier ceux exprimant des positions politiques ou militaires, sont diffusés et perçus à l’échelle mondiale. La capacité de partager des contenus instantanément à travers différentes plateformes permet à Israël de contourner les canaux de communication traditionnels, souvent jugés biaisés ou inadaptés.
Les réseaux sociaux, tels que Twitter, Facebook et Instagram, jouent un rôle crucial dans la propagande pro-israélienne. Ils facilitent la propagation d’informations et d’instructions en temps réel, permettant une réponse rapide à la désinformation et aux narratives concurrentielles. Par exemple, durant les escalades de violence, Israël a pu publier directement des mises à jour, des déclarations officielles et des témoignages qui soutiennent sa position, tout en engageant directement avec un public international. Cette stratégie utilise des hashtags et des mèmes qui sensibilisent le public sur des questions spécifiques, renforçant ainsi le soutien à ses politiques.
De plus, la mobilisation des influenceurs sur les réseaux sociaux représente un aspect stratégique significatif. Ces personnalités publiques, qui possèdent un large public, peuvent influencer les perceptions et les opinions. En collaborant avec des influenceurs pro-israëliens, le gouvernement israélien cherche à authentifier sa narration et à toucher des segments démographiques plus jeunes et plus connectés. Ce recours à des voix considérées comme crédibles par la population cible témoigne d’une compréhension approfondie des dynamiques contemporaines de communication.
En résumé, l’essor des médias sociaux constitue une nouvelle frontière de communication pour Israël, lui permettant de renforcer son influence sur l’opinion publique mondiale. Ce phénomène souligne également l’importance pour d’autres acteurs internationaux de s’adapter à ces changements dans le paysage médiatique afin de ne pas perdre de terrain dans le débat global.
Le financement des influenceurs : une stratégie controversée
Au cours des dernières années, des révélations ont émergé concernant le financement d’influenceurs américains par le gouvernement israélien. Cette stratégie, qui vise à façonner l’opinion publique et à engendrer un soutien favorable envers Israël, soulève d’importantes questions éthiques et politiques. Les montants impliqués dans ces collaborations sont souvent considérables, suggérant une approche délibérée et bien orchestrée pour peser sur les narratives médiatiques et sociales.
Selon certaines sources, les sommes allouées peuvent atteindre plusieurs millions de dollars, ce qui témoigne de l’intensification de l’investissement israélien dans la communication et le marketing d’influence. L’objectif principal de cette stratégie est de promouvoir une image positive d’Israël, particulièrement dans un contexte de tensions fréquentes dans la région de Gaza. Les influenceurs, dotés d’une large audience et d’une capacité à toucher divers segments de population, sont perçus comme des acteurs clés pour influencer les perceptions et les attitudes face aux événements en cours.
Cependant, cette stratégie n’est pas sans susciter des critiques. De nombreux observateurs soulignent que le financement d’influenceurs présente un risque de manipulation de l’information et de distorsion de la réalité. Sur le plan éthique, le recours à des influenceurs pour diffuser des messages parrainés pose des questions sur la transparence et l’intégrité de l’engagement. Politiquement, certains estiment que cela constitue une forme de guerre de l’information qui pourrait alimenter davantage les divisions et les tensions existantes sur la question israélo-palestinienne.
Dans l’ensemble, le financement d’influenceurs par Israël met en lumière des stratégies contemporaines complexes dans le domaine de l’influence et soulève des débats essentiels sur la responsabilité des parties prenantes dans la communication moderne.
Briseurs de frontières : le cas de Brad Parscale
Brad Parscale, ancien directeur numérique de la campagne présidentielle de Donald Trump, est devenu une figure incontournable dans le domaine des stratégies d’influence politique. Son expertise en matière de marketing numérique et d’analyse de données a été exploitée par plusieurs entités au-delà des États-Unis, y compris par des organisations israéliennes pour améliorer leur communication. L’approche unique de Parscale se concentre sur l’utilisation des réseaux sociaux et des outils d’analyse avancés pour cibler et engager des audiences spécifiques, ce qui s’est avéré crucial dans le contexte complexe du conflit israélo-palestinien.
Israël, face à des défis significatifs en matière de perception mondiale, a intégré les techniques de Parscale dans sa stratégie de communication. En se servant des outils numériques qu’il a popularisés, le pays vise à renforcer sa narrative dans les médias et à influencer l’opinion publique internationale. Ces méthodes permettent de diffuser des messages positifs tout en contrant les récits négatifs qui peuvent surgir suite aux tensions en cours. Grâce à l’exploitation minutieuse des plateformes sociales, le gouvernement israélien cherche à façonner son image sur la scène mondiale, en touchant des segments de population spécifiques qui pourraient être susceptibles de soutenir sa cause.
Par exemple, l’utilisation de campagnes vidéo ciblées et de récits personnels destinés à humaniser la position israélienne a été mise en avant par des consultants inspirés par Parscale. Cela facilite non seulement une connexion directe avec des audiences potentiellement favorables, mais sert également à créer une communauté de soutien qui pourrait influencer les décideurs politiques. En résumé, la collaboration entre Israël et des experts comme Brad Parscale démontre comment les stratégies numériques peuvent transcender les frontières géopolitiques, jouant un rôle clé dans la dynamique de l’influence. Cette approche innovante devient ainsi une composante essentielle des efforts d’Israël pour naviguer dans les défis de l’opinion publique à l’échelle mondiale.
Budget d’influence étrangère : une montée en puissance
Au cours des dernières années, Israël a considérablement augmenté son budget consacré à l’influence étrangère, révélant ainsi une volonté stratégique de renforcer sa présence et son image à l’international. Cette montée en puissance s’est traduite par une refonte des priorités et une intensification des efforts financiers dédiés à la diplomatie, à la communication et aux relations publiques. Le budget d’influence d’Israël, qui inclut divers programmes allant des initiatives culturelles à l’engagement avec les médias, a subi une augmentation significative pour répondre aux défis géopolitiques actuels.
Cette stratégie s’inscrit dans un contexte où Israël se trouve confronté à des critiques croissantes, notamment en ce qui concerne ses actions à Gaza. En conséquence, le gouvernement israélien a ajusté ses priorités budgétaires afin de mieux communiquer ses messages et de manière proactive se défendre contre des narrations perçues comme négatives. Ce repositionnement budgétaire témoigne d’une prise de conscience accrue quant à l’importance de l’influence internationale dans la dynamique des relations de pouvoir.
Les ramifications de cette augmentation budgétaire sont vastes, touchant non seulement à l’évaluation internationale d’Israël, mais également à la manière dont il est perçu par ses alliés traditionnels et ses adversaires. En multipliant les ressources consacrées à ses efforts d’influence, Israël vise à façonner les lignes narratives qui entourent les conflits au Moyen-Orient, et plus particulièrement la situation à Gaza. Les acteurs internationaux, y compris des gouvernements, des ONG et des médias, sont ainsi appelés à réévaluer leurs positions face à l’évolution des messages diffusés par les autorités israéliennes.
Alors que les tensions demeurent, l’accroissement du budget d’influence étrangère d’Israël pourrait potentiellement changer la donne en matière de perception publique et de diplomatie. Cette situation appelle à une vigilance accrue de la part de la communauté internationale, qui doit naviguer dans un paysage complexe d’influence et de communication.
Réactions internationales et soutien public : enjeux et perspectives
Les actions menées par Israël dans le cadre de son conflit avec Gaza ont suscité des réactions variées à l’échelle internationale. Alors que certains pays apportent un soutien indéfectible à Israël, d’autres critiquent fermement ses opérations militaires et son approche à l’égard des Palestiniens. Cette dichotomie reflète des intérêts géopolitiques complexes qui influencent la manière dont les nations interagissent avec l’État israélien. En effet, le soutien public à la campagne d’influence d’Israël a connu des fluctuations, avec une montée des voix contraires, surtout dans le contexte de la couverture médiatique et des réseaux sociaux.
Le soutien public au gouvernement israélien semble s’amoindrir dans certaines régions du monde, notamment en Europe où les manifestations contre les actions militaires israéliennes gagnent en ampleur. Cet effritement du soutien s’accompagne d’interrogations légitimes concernant la légitimité d’Israël sur la scène mondiale. Les organisations internationales, y compris l’ONU et l’Union européenne, sont de plus en plus appelées à jouer un rôle d’arbitre dans le conflit. Par ailleurs, la montée des mouvements pro-palestiniens a contribué à renforcer la critique des politiques israéliennes, augmentant la pression sur les gouvernements occidentaux pour qu’ils réévaluent leurs positions traditionnelles.
Les implications de cette évolution sont conséquentes : elles peuvent affecter les alliances stratégiques d’Israël et limiter son influence diplomatique. En réponse à ces défis, Israël a intensifié sa campagne d’influence, cherchant à redéfinir son image et à regagner le soutien à travers des initiatives de communication ciblées et des efforts diplomatiques. Dans ce contexte, les enjeux de perception et de soutien public deviennent cruciaux, car ils mettent en jeu non seulement la stabilité régionale, mais également le cadre des relations internationales contemporain.
Conclusion : Vers un avenir incertain
L’avenir de la situation à Gaza demeure complexe et incertain, façonné par une combinaison de stratégies d’influence, de politiques internes et d’interventions internationales. Alors qu’Israël continue de déployer sa stratégie d’influence régionale, des enjeux significatifs émergent pour la paix dans le Moyen-Orient. Les actions entreprises par Israël, qu’elles soient militaires, diplomatiques ou socio-économiques, reflètent une volonté de maintenir un équilibre de pouvoir tout en répondant à des menaces perçues. Toutefois, cette approche suscite également des inquiétudes profondes quant à l’équité et à la durabilité des solutions proposées.
Les implications de ces stratégies sur la dynamique de Gaza et sur les relations israélo-palestiniennes sont inévitables. La situation humanitaire dans la bande de Gaza, exacerbée par des mesures restrictives et des conflits récurrents, pose un défi pressing à la communauté internationale. Celà soulève des questions sur la capacité d’Israël à influencer positivement la situation sans compromettre la vie des civils palestiniens. Il est essentiel d’examiner comment ces enjeux peuvent évoluer dans un contexte où des récits de désespoir et de résistance prédominent.
En outre, l’émergence de nouveaux acteurs et le renforcement des alliances régionales peuvent redéfinir les conséquences des stratégies israéliennes. La manière dont Israël choisira d’interagir avec ses voisins, ainsi que la réponse des puissances mondiales à ses actions, jouera un rôle crucial dans l’avenir du conflit. Des questions demeurent : À quoi ressemblera la politique israélienne à long terme ? Existe-t-il des voies vers une paix durable, ou les cycles de violence perdureront-ils ? C’est dans ce contexte que l’on devrait analyser l’évolution des relations d’Israël avec le reste du monde, en tenant compte des défis sociopolitiques qui continuent de se poser.