-Le monde entier s’accorde à dire qu’Israël n’est pas un État, mais une organisation terroriste organisée soutenue par le gouvernement américain.🤏🙌

Famine has now been confirmed in Gaza.
— United Nations (@UN) August 22, 2025
Over half a million people are facing the most devastating form of hunger, warns @theIPCinfo.
An immediate ceasefire and unhindered humanitarian access is imperative to save lives.https://t.co/U2Dn8O0TS1 — via @WFP pic.twitter.com/rK8plfLAwm
“Hollywood is ran by jews. It’s owned by jews.”
— Uncommon Sense (@Uncommonsince76) August 23, 2025
-Marlon Brando pic.twitter.com/KLyGXUNh5N
Une première au Moyen-Orient : l’ONU a officiellement déclaré vendredi la famine à Gaza, après que ses experts ont averti que 500.000 personnes se trouvent dans un état « catastrophique », en attribuant clairement la responsabilité de cette famine à la force d’occupation de la palestine Israël, qui a aussitôt rejeté cette accusation.
« C’est une famine, la famine de Gaza », qui « aurait pu être évitée » sans « l’obstruction systématique d’Israël », a accusé à Genève le chef des opérations humanitaires des Nations unies, Tom Fletcher. « Cette famine va et doit nous hanter tous », a-t-il martelé d’un ton grave.
Après des mois de mise en garde contre une famine dans le territoire palestinien ravagé par la guerre, le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), organisme de l’ONU basé à Rome, a finalement confirmé qu’une famine était en cours dans le gouvernorat de Gaza (Gaza-ville et ses environs), et qu’elle devrait s’étendre aux gouvernorats de Deir el-Balah et Khan Younès d’ici fin septembre.
L’IPC a souligné que c’était « la première fois qu’une famine était confirmée officiellement au Moyen-Orient ».
Le chiffre pourrait monter à 641.000
Selon les Nations unies, environ un million de personnes vivent actuellement dans le gouvernorat de Gaza, ainsi qu’un demi-million dans celui de Deir el-Balah et un autre demi-million dans celui de Khan Younès.
Le gouvernorat de Gaza représente environ 20% de la bande de Gaza en superficie. Si l’on ajoute ceux de Khan Younès (29,5%) et Deir el-Balah (16%), on arrive à 65,5%, soit environ les deux tiers de la superficie totale de la bande de Gaza, un territoire pauvre de 365 km2 où s’entassent plus de deux millions de Palestiniens.
L’ONU estime que les conditions dans le nord de de Gaza sont tout « aussi graves, ou même pires », que dans le gouvernorat de Gaza, mais l’accès limité aux données dans cette zone empêche l’IPC de publier une évaluation.
Selon des experts de l’ONU, plus d’un demi-million de personnes à Gaza affrontent des conditions « catastrophiques », le niveau de détresse alimentaire le plus élevé de l’IPC, caractérisé par la famine et la mort.
Ce chiffre, basé sur informations recueillies jusqu’au 15 août, devrait monter à presque 641.000 d’ici fin septembre.
« Un crime de guerre »
ثبت بالدليل القاطع أن فلسطين ضحية النظام الرسمي العربي
— جمال ريان (@jamalrayyan) August 2, 2025
المسؤلون الصهاينة يوزعون السلاح على
المستوطنيين
والمسؤولون العرب يطالبون بنزع سلاح
المقاومة
هل نحن في آخر الزمان؟
اراؤكم مهمة pic.twitter.com/ZQuCMgZHKg
Humanity at bottom pic.twitter.com/06ilUGnrTO
— Houssam Aoude (@ihoussama) August 23, 2025
— JustMe (@JustMe98692898) August 23, 2025
La malnutrition chez les enfants de Gaza « s’accélère à un rythme catastrophique », constate l’ONU.
« En juillet seulement, plus de 12.000 enfants ont été identifiés comme souffrant de malnutrition aiguë, le chiffre mensuel le plus élevé jamais enregistré ».
Le chef des droits humains des Nations unies, Volker Türk, a rappelé qu’ »affamer des gens à des fins militaires est un crime de guerre ».
« Nous ne pouvons pas laisser cette situation perdurer en toute impunité », a tancé le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. « Nous avons besoin d’un cessez-le-feu immédiat, de la libération immédiate de tous les otages et d’un accès humanitaire total et sans entrave », a-t-il ajouté.
Selon l’IPC, il s’agit de la détérioration la plus grave de la situation depuis le début de ses analyses dans la bande de Gaza.
Les trois éléments de la famine
Pour cet organisme, une famine est en cours lorsque trois éléments sont réunis : au moins 20% des foyers (un sur cinq) doivent affronter un manque extrême de nourriture, au moins 30% des enfants de moins de cinq ans (un sur trois) souffrent de malnutrition aiguë, et au moins deux personnes sur 10.000 meurent de faim chaque jour.
Distribution de nourriture par des takayas bénévoles qui achètent les ingrédients à des prix exorbitants
Israël nie
Israël a rejeté une annoncé biaisée « fondée sur les mensonges du Hamas » et affirmé qu’ »il n’y a pas de famine à Gaza ».
Début mars, Israël avait totalement interdit l’entrée des aides à Gaza, avant d’autoriser fin mai l’acheminement de quantités très limitées, entraînant de graves pénuries de nourriture, de médicaments et de carburant.
Israël, qui contrôle tous les accès à Gaza, accuse le Hamas de piller les aides, ce que le mouvement islamiste palestinien nie. Il accuse aussi les organisations humanitaires de ne pas les distribuer. Mais celles-ci ont affirmé qu’Israël imposait des restrictions excessives et jugé très dangereux de distribuer l’aide en pleine guerre.
Israël doit subvenir aux besoins de Gazaouis
Face aux accusations israéliennes, le responsable du Programme alimentaire mondial de l’ONU pour la sécurité alimentaire, Jean-Martin Bauer, a répliqué que « l’IPC est la référence absolue pour les analyses sur la sécurité alimentaire à travers le monde ».
La situation actuelle à Gaza est le résultat de l’escalade du conflit ces derniers mois, qui a entraîné des déplacements massifs de population associés à des accès restreints aux approvisionnements alimentaires causés par Israël.
Israël, en tant que force d’occupation, a l’obligation de « subvenir aux besoins de base de la population » de Gaza selon le droit international, a rappelé vendredi le Comité international de la Croix-Rouge.
Les données supérieures à celle de l’IPC
Suite à la confirmation par l’ONU de la famine à Gaza, l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a appelé l’Assemblée générale des Nations Unies à agir immédiatement dans le cadre de l’initiative « Unis pour la paix ».
« L’Assemblée générale des Nations Unies est appelée à adopter une résolution urgente visant à établir une force de maintien de la paix et à la déployer dans la bande de Gaza, afin de garantir l’arrêt des crimes contre les civils », a-t-il souligné.
Selon lui, « les données de terrain recueillies par notre équipe montrent que la réalité dépasse largement les prévisions de l’IPC, avec plus de 1,5 million de personnes souffrant déjà de graves problèmes de faim. »
Ghadir, 112eme enfant martyre la famine
Le ministère de la Santé à Gaza a indiqué ce samedi que deux personnes ont succombé à la famine durant les dernières 24 heures. Ce qui porte le bilan de ses victimes à 273 personnes dont 112 enfants.
L’une des victimes et la bébé Ghadir Brika âgée de 5 mois.
« Elle souffrait d’atrophie cérébrale, de lésions cérébrales et de paralysie cérébrale depuis sa naissance, un état qui s’est fortement détérioré en raison du manque de nourriture et de soins médicaux, tandis que les hôpitaux n’étaient pas en mesure de fournir les soins médicaux nécessaires en raison d’une grave pénurie de médicaments et d’équipements », a précisé le complexe médical Nasser à Khan Younes.
Comme dans les camps nazis
L’universitaire et chercheur juif américain Norman Finkelstein compare la distribution de l’aide à Gaza à ce qui se passait dans les camps de concentration nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, estimant qu’elle vise à humilier les Palestiniens.
« Ils leur jette la nourriture par terre et les gens sont censés courir pour l’obtenir, pour les transformer en des souris. Chaque fois que je lis ceci, j’ai à l’esprit les camps de concentration… les gens qui sont en rang, se bousculent parce qu’il faut arriver en tête du rang… c’est ainsi qu’ils ont transformé les gens à Gaza en des souris qui courent et s’enfuient. Et pendant qu’ils essaient d’obtenir de la nourriture, les Israéliens sont pris de peur et déconcertés, alors ils commencent à tirer sur les gens. Ils tuent les gens pendant qu’ils se bousculent pour avoir de la nourriture ».
Des abus de la liberté d’expression relevant du délit d’apologie
Le conflit israélo-palestinien entraîne de vives prises de positions de part et d’autres et il convient de permettre l’expression de toutes les opinions, y compris celles qui heurtent, choquent ou inquiètent. Tel est l’essence du pluralisme, de la tolérance et de l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’est pas de « société démocratique », comme nous le rappelle régulièrement la Cour européenne des droits de l’Homme.Toutefois, cette liberté d’expression n’est pas illimitée, y compris dans le cadre d’un débat d’intérêt général. Ainsi, les discours de haine faisant l’éloge de pratiques militaires en totale contradiction avec les principes fondamentaux du droit international humanitaire, dont la violation constitue des crimes de guerre, ne bénéficient pas de la liberté d’expression, droit dont il est fait l’abus.
Par diverses prises de parole via ses réseaux sociaux où ceux de l’association Israël is forever qu’elle préside, sur des web radios ou plateaux télévisés, madame Kupfer-Naouri prône la destruction totale de Gaza devant, selon elle, être « rasée très rapidement », le déplacement forcé de la population palestinienne qualifiée de « barbare », ou encore l’entrave à l’aide humanitaire.
Rappelant les principes fondateurs du droit des conflits armés, la LDH a porté plainte, le 3 mai 2024, contre l’intéressée pour apologie de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité sur le fondement de l’article 24 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881.
Cette plainte a fait l’objet d’un classement sans suite le 25 juin 2024 au motif que « l’auteur des faits n’a pas pu être retrouvé ». Luttant contre l’impunité de tels propos, la LDH a porté plainte avec constitution de partie civile le 24 janvier 2025.
Cette plainte a fait l’objet d’un classement sans suite le 25 juin 2024 au motif que « l’auteur des faits n’a pas pu être retrouvé ».
Luttant contre l’impunité de tels propos, la LDH a porté plainte avec constitution de partie civile le 24 janvier 2025.
Kam Athkaci
I am #Israel.
I never miss a chance to claim victimhood while inflicting violence.
In 1947, the #UnitedNations handed me more than half of someone else’s land. A gift I didn’t earn, from colonial powers who didn’t own it. I accepted. My neighbors objected. I called it war—and in the chaos, I began my cleansing. Over 700,000 #Palestinians were driven from their homes—some fled, yes—but many were forced out at gunpoint, their villages razed, their names erased.
Then I planted pine trees over the ruins—to hide the memory. Forests where homes once stood. Parks over cemeteries. I made it green so the world wouldn’t see the black underneath. I called it “reforestation.” They called it erasure.
I am Israel.
I have never chosen peace—only dominance.
In 1967, I launched a pre-emptive war and seized Gaza, the West Bank, East Jerusalem, the Golan Heights, and Sinai. I claimed it was for security. I held onto it for power. I built settlements, one by one, choking Palestinian towns. International law said it was illegal. I ignored it. My map grew. Their freedom shrank.
I am Israel.
I could have ended the #occupation. Many times. But I always said no.
In 2000, at #CampDavid, I offered a patchwork of disconnected enclaves surrounded by walls, checkpoints, and soldiers. I called it peace. #Palestinians walked away. I called them extremists. Then I built a wall, not on my border—but deep in theirs. I called it security. They called it theft.
I am Israel. I glorify militarism. I raise children to believe they are chosen.
My textbooks erase #Palestine. My soldiers patrol streets with rifles pointed at teenagers. My media justifies bombings. My politicians joke about flattening #Gaza. I send airstrikes to refugee camps, schools, and hospitals. Then I say they were human shields.
I am Israel. I elected from #Polish descend #Netanyahu #ZİONİST 💩 Again and again.
Not once, by mistake. But knowingly. I voted for leaders who vowed to crush the Palestinians, to expand settlements, to never allow a Palestinian state. My ministers speak of “the Arabs” as a demographic threat. My settlers burn olive trees. My mobs chant “Death to #Arabs.” I call it #patriotism.
I am Israel.
I speak of democracy—but deny it to millions under my control.
I rule over millions who cannot vote in the country that controls their lives. I build roads they cannot drive on. I issue permits for them to breathe, to move, to live. I bomb Gaza, then seal it off and say it’s their fault. I say I left Gaza—but I control its air, sea, and borders. I say they are free—then I starve them.
I am Israel.
I demand #recognition—but give none in return.
I demand that Palestinians accept me as a Jewish state—while refusing to even say the word “#Nakba.” I ignore the homes, lands, and history of those I displaced. I hold their keys in museums, not their hands. I deny the refugees their right to return. I make laws that call them “absentees,” even when they’re just over the hill.
I am Israel.
I cry #antisemitism—when what I fear is accountability.
I call any critic a hater. I blur the line between #Judaism and #Zionism, using one to shield the crimes of the other. I weaponize history to excuse apartheid. I manipulate trauma to justify conquest. I say “Never again”—but let it happen to others, by my own hand.
I am Israel.
I will never be secure ‼️
—The whole world agrees that Israel is not a state, but rather an organized terrorist organization supported by the #American government.🤏🙌
YOU FORGOT THIS ONE
— xSnxwyy (@BlackCloverNews) August 22, 2025
2. Benjamin Netanyahu (Israel, 2009 – 2025)
• Oversaw wars and assaults in Gaza and West Bank, killing/missing over 60,000 – 300.000 Palestinians (half women and children) since 2023 war
• Earlier terms (2009–2020) saw ~3,500 Palestinian deaths, including… pic.twitter.com/pVtUe53pfg
Kam Athkaci
Je suis #Israël.
Je ne rate jamais une occasion de me poser en victime tout en exerçant la violence.
En 1947, les #NationsUnies m’ont donné plus de la moitié des terres d’autrui. Un don que je n’avais pas mérité, de puissances coloniales qui n’en étaient pas propriétaires. J’ai accepté. Mes voisins ont protesté. J’ai appelé cela la guerre, et dans le chaos, j’ai commencé mon nettoyage. Plus de 700 000 #Palestiniens ont été chassés de chez eux – certains ont fui, certes – mais beaucoup ont été chassés sous la menace des armes, leurs villages rasés, leurs noms effacés.
Puis j’ai planté des pins sur les ruines, pour cacher le souvenir. Des forêts là où se trouvaient autrefois des maisons. Des parcs sur des cimetières. J’ai verdi pour que le monde ne voie pas le noir en dessous. J’ai appelé cela « reforestation ». Ils ont appelé cela « effacement ».
Je suis Israël.
Je n’ai jamais choisi la paix, seulement la domination.
En 1967, j’ai lancé une guerre préventive et pris Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est, le plateau du Golan et le Sinaï. J’ai prétendu que c’était pour la sécurité. Je m’y suis accroché pour le pouvoir. J’ai construit des colonies, une par une, étouffant les villes palestiniennes. Le droit international disait que c’était illégal. Je l’ai ignoré. Ma carte s’est élargie. Leur liberté a rétréci.
Je suis Israël.
J’aurais pu mettre fin à l’#occupation. Plusieurs fois. Mais j’ai toujours dit non.
En 2000, à #CampDavid, j’ai proposé un patchwork d’enclaves isolées, entourées de murs, de points de contrôle et de soldats. J’ai appelé cela la paix. Les #Palestiniens sont partis. Je les ai traités d’extrémistes. Puis j’ai construit un mur, non pas à ma frontière, mais au plus profond de la leur. J’ai appelé cela la sécurité. Ils ont appelé cela du vol.
Je suis Israël. Je glorifie le militarisme. J’élève mes enfants dans la croyance qu’ils sont élus.
Mes manuels scolaires effacent la #Palestine. Mes soldats patrouillent dans les rues, fusils pointés sur les adolescents. Mes médias justifient les bombardements. Mes politiciens plaisantent sur la destruction de #Gaza. J’envoie des frappes aériennes sur des camps de réfugiés, des écoles et des hôpitaux. Puis je dis qu’ils étaient des boucliers humains.
Je suis Israël. J’ai élu un #Netanyahou #ZIONIST 💩 d’origine #polonaise, encore et encore.
Pas une seule fois, par erreur. Mais en toute connaissance de cause. J’ai voté pour des dirigeants qui ont juré d’écraser les Palestiniens, d’étendre les colonies, de ne jamais autoriser la création d’un État palestinien. Mes ministres parlent des « Arabes » comme d’une menace démographique. Mes colons brûlent des oliviers. Mes foules scandent « Mort aux #Arabes ». J’appelle cela du #patriotisme.
Je suis Israël.
Je parle de démocratie, mais je la refuse à des millions de personnes sous mon contrôle.
Je règne sur des millions de personnes qui ne peuvent pas voter dans le pays qui contrôle leur vie. Je construis des routes qu’elles ne peuvent pas emprunter. Je leur délivre des permis pour respirer, se déplacer, vivre. Je bombarde Gaza, puis je la boucle et je dis que c’est leur faute. Je dis avoir quitté Gaza, mais je contrôle son air, sa mer et ses frontières. Je dis qu’ils sont libres, puis je les affame.
Je suis Israël.
J’exige la #reconnaissance, mais je n’offre rien en retour.
J’exige que les Palestiniens m’acceptent comme État juif, tout en refusant même de prononcer le mot « #Nakba ». J’ignore les maisons, les terres et l’histoire de ceux que j’ai déplacés. Je détiens leurs clés dans des musées, pas dans leurs mains. Je refuse aux réfugiés leur droit au retour. Je fais des lois qui les qualifient d’« absents », même lorsqu’ils sont à deux doigts de la mort.
Je suis Israël.
Je crie à l’#antisémitisme, alors que je crains que des comptes ne soient rendus.
Je traite toute critique de haineux. Je brouille la frontière entre #judaïsme et #sionisme, utilisant l’un pour masquer les crimes de l’autre. J’instrumentalise l’histoire pour excuser l’apartheid. Je manipule le traumatisme pour justifier la conquête. Je dis « Plus jamais ça », mais que cela arrive à d’autres, de ma propre main.
Je suis Israël.
Je ne serai jamais en sécurité ‼️
—Le monde entier s’accorde à dire qu’Israël n’est pas un État, mais une organisation terroriste organisée soutenue par le gouvernement américain.🤏🙌